L’UMPest lassée de voir les syndicats d’enseignants soulever perpétuellementla question des « moyens » pour s’opposer à tout changement et selancer dans la 33è grève de l’Education nationale en huit ans !
Ceslogan usé a peu de sens quand on sait que l’école est et restera lepremier investissement de l’Etat. En 20 ans, le budget de l’Educationnationale a été multiplié par deux, et pourtant dans le même temps:l’échec scolaire progressait et les résultats de nos élèves dans toutesles enquêtes nationales et internationales régressaient.
L’UMPregrette que les syndicats refusent obstinément de voir que la réformedu primaire s’attaque réellement aux racines de l’échec scolaire: lesprogrammes sont recentrés sur les apprentissages fondamentaux, lasuppression des cours du samedi permet de libérer deux heures d’aidepersonnalisée pour les élèves en difficulté, des stages gratuits desoutien scolaire et de remise à niveau sont organisés dans les classesde CM1 et CM2 pendant les vacances. ……
D’ailleurs l’UMP noteavec satisfaction qu’après une année de réformes d’envergures engagéespar le Ministre de l’Education nationale, Xavier DARCOS, les grévistessont, grève après grève, de moins en moins nombreux. Ce qui démontrequ’il y a une réelle adhésion à la réforme, à la création de servicesnouveaux pour les familles, à la rénovation complète de l’enseignementprofessionnel.
Un peu moins de grèves et un peu plus de bonsens seraient le meilleur point de départ pour améliorer les conditionsde travail des élèves.
Chantal BRUNEL
Porte-parole