L’UMP lance sa Fédération numérique

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L’UMP lance sa Fédération numérique

Le 15 janvier à 11h, l’UMP a officiellement lancé sa plateforme UMPnet.org.
PatrickDevedjian a ouvert la conférence de presse en présentant les enjeux desnouvelles technologies pour l’UMP. Le point de départ du projet entaméil ya six mois, résulte d’un constat simple : on compte à ce jour 370000 adhérents soit « 110 000 de plus depuis l’élection de NicolasSarkozy ».  Les réunions locales, le quadrillage traditionnel duterrain ne suffisent plus à toucher tous ces adhérents. Le Secrétairegénéral de l’Ump souligne qu’une manière de vivre différente, untravail éclaté « modifient les aspirations et les demandes des gens ».« C’est la raison pour laquelle nous avons lancé une politique trèsvolontariste et très développée de l’utilisation d’internet » a-t-ildéclaré.

Le militantisme en ligne est en plein essor
Aujourd’hui, la fédération numérique compte déjà plus de 40 000 adhérents !
PourThierry Solère, secrétaire National de l’UMP, en charge de lafédération numérique « les Français s’intéressent à des sujets de façontrès directe et ciblée ». Internet permet de répondre à ces attentes «en sélectionnant des thématiques précises grâce aux moteurs derecherche ». La fédération numérique permet donc d’être au plus prèsdes électeurs. On sait par exemple que le monde rural et les habitantsde petites villes ne disposent pas de permanence Ump proche. Lafédération prend ici toute sa place et fait office de relais efficace.
Maisla plateforme Internet n’a pas pour seule fonction de représenter leparti et de le rendre visible. C’est aussi un véritable outil d’action,un « moyen de faire de la politique autrement ». Et comme son noml’indique, de fédérer. Sur Umpnet.org, il est facile de s’inscrire. Oncréé son profil en deux clics. Différents blocs thématiques permettentune navigation facile. Un espace réunion permet de s’inscrire en ligneaux réunions locales à venir, les ateliers interactifs permettent dedébattre entre UMPnautes. Autre spécificité, la google map qui permet àl’internaute de visualiser les militants résidant dans son secteurgéographique. Comme sur Facebook ou Myspace, chacun a la possibilité decréer son propre réseau en ajoutant ses pairs comme « contact ».L’interactivité ne s’arrête pas là. Les candidats et militants aurontaccès à des formations en ligne. En prenant part à des débats autantnationaux que locaux, en invitant ses amis (par exemple via Facebook),Thierry Solère souligne : « chaque Français devient acteur ». Il n’y aplus de « structure verticale mais une structure horizontale » decommunication au sein du parti.

Un atout pour la campagne des municipales
Lacampagne municipale est l’occasion d’exploiter cet outil.François-Xavier Dugourd, candidat UMP investi à Dijon pour lesmunicipales et UMPnaute, le juge indispensable. L’UMPnet lui permet de« bâtir des opérations au niveau local au plus près de ses concitoyens», tout en s’informant de ce qui se fait dans les autres villes : il aainsi la possibilité « d’organiser le débat, de croiser des idées »avec des candidats de toute la France. De plus, la rapidité d’internet« mobilise très directement et rapidement » les partisans, c’est unvéritable « outil de campagne » assure-t-il.
Sans nul doute, lelancement de l’UMPnet est un véritable atout pour le parti pourconquérir les villes. Bien sûr, comme le rappelle le Secrétairenational de l’UMP, cet « outil de mobilisation » aura encore lieud’être après les élections municipales et cantonales. Umpnet.org est lapremière plateforme politique interactive Internet. Une fois encore,l’UMP montre qu’elle sait s’adapter au changement, pour être au plusprès des Français.

En savoir plus :
Présentation de la fédération numérique
www.umpnet.org

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